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"Après plus de deux ans et demi d'enquête, la commission indépendante sur les abus sexuels dans l'Église a rendu son rapport mardi. Les chiffres sont vertigineux : 216 000 mineurs ont été victimes d'abus sexuels de prêtres et de religieux entre 1950 et aujourd'hui. Ce chiffre passe à 330 000 si on ajoute les victimes de laïcs en mission ecclesiale. Résultat d'une défaillance institutionnelle selon Jean-Marc Sauvé, qui a présidé la commission. Ces révélations sont une déflagration pour l'Église Catholique. On en parle aujourd'hui avec Mgr Philippe ballot, archevêque de Chambéry, évêque de Maurienne et de Tarentaise.  "

"Deux articles parus mardi 13 juin dans les journaux La Croix et La Vie, en collaboration avec Famille Chrétienne, ont mis en cause, à des degrés divers, Mgr Georges Colomb (évêque de la Rochelle) et Mgr Gilles Reithinger (évêque auxiliaire de Strasbourg), tous deux anciens supérieurs généraux des Missions Etrangères de Paris (MEP)."

"Suite aux révélations faites ce jour dans les médias au sujet de l'abbé Joseph Didelon alors qu'il était professeur au collège-lycée épiscopal Saint-Augustin de Bitche, vous trouverez ci-dessous le communiqué de Mgr Philippe Ballot, archevêque-évêque de Metz."

"Le parquet de Strasbourg a classé sans suite l'enquête pénale visant Mgr Jean-Pierre Grallet, ancien archevêque de Strasbourg, qui avait reconnu des « gestes déplacés » envers une femme majeure dans les années 1980, a annoncé mardi 16 janvier son avocat. Les faits étaient prescrits."

"Dans le souci de prendre en compte les souffrances vécues par les personnes victimes d'abus sexuels et d'autres blessures en Église, Mgr Philippe BALLOT, archevêque de Chambéry, évêque de Maurienne et Tarentaise a mis en place, dans les diocèses de Savoie une cellule d'écoute."

Après avoir pris le temps d'écouter des personnes victimes, les évêques de France ont pris, en mars dernier, une série de décisions supplémentaires qu'ils ont présentées à tous les fidèles dans une lettre aux catholiques de France (intitulée « Faire de l'Église une maison sûre », en pièce jointe). Ce que nous entendrons sera éprouvant et rejoindra ce que nous savons déjà et qui nous a beaucoup blessés. J'encourage donc à ce que nous puissions, dans les jours et semaines qui suivront, échanger les uns et les autres. Que chacun puisse prendre les initiatives qui lui paraîtront les meilleurs pour le faire ! De mon côté je reste disponible pour toute rencontre personnelle ou à plusieurs et répondrai aux invitations qui me seraient faites, en particulier, celles venant des médias qui ne manqueront pas de faire écho au rapport. La cellule d'écoute est toujours disponible pour recevoir les victimes qui auraient besoin de parler. Elle est joignable par courriel : ecoute.abus@catholique73.fr ou tél : 06.65.35.32.73 Rappelons-nous qu'en août 2018, le Pape François a interpellé le Peuple de Dieu au sujet des abus sexuels sur mineurs commis dans l'Église, en lui adressant une lettre ! (Lettre du pape François au peuple de Dieu en pièce jointe). Avec vous, je me tourne vers le Seigneur pour qu'Il nous aide à être toujours plus attentifs les uns aux autres, tout particulièrement aux plus fragiles, aux plus exposés, aux plus isolés. Que Marie, Notre Dame de Myans, Mère de Dieu, Mère de l'Église et Mère de chacun nous accompagne !

"La dernière Assemblée Plénière des évêques à Lourdes a été particulièrement suivie par les médias, le travail a été intense. Commencée avec des délégués diocésains pour l'écologie et des membres des diaconies diocésaines venus avec des personnes pauvres, elle s'est poursuivie en reprenant les recommandations de la commission indépendante pour les abus sexuels dans l'Eglise (CIASE) aboutissant à des décisions."

"Dans le souci de prendre en compte les souffrances vécues par les personnes victimes d'abus sexuels et d'autres blessures en Église, Mgr Philippe BALLOT, archevêque de Chambéry, évêque de Maurienne et Tarentaise a mis en place, dans les diocèses de Savoie une cellule de Veille. "

"Luc Ravel avait remis sa démission fin avril. Il était visé par une inspection du Vatican à la suite de critiques sur sa gouvernance, que certains jugeaient trop autoritaire"

"Deuxième volet de notre enquête sur des agressions sexuelles commises pendant plusieurs décennies, au sein du collège-lycée Saint-Augustin de Bitche (Moselle), aujourd'hui fermé : de nouveaux témoignages font état, notamment, d'autres agresseurs, et d'une direction qui ne pouvait ignorer les faits."